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10 juin 2025

Une multiplication par dix des lancements de fusées pourrait commencer à nuire à la couche d'ozone, selon une nouvelle étude.

Plusieurs centaines de fusées sont lancées chaque année dans le monde par des entreprises commerciales et des programmes spatiaux d'États-nations. Ces lancements ont lieu sur une vingtaine de sites, presque tous situés dans l'hémisphère nord, les taux de lancement les plus importants étant actuellement enregistrés aux États-Unis, en Chine, en Nouvelle-Zélande et en Russie.

L’industrie spatiale internationale est sur une trajectoire de croissance, mais de nouvelles recherches montrent qu’une augmentation rapide des lancements de fusées endommagerait la couche d’ozone.

Lire l'article sur notre Blog

05 juin 2025

Défense planétaire : la guerre aux astéroïdes

Des scientifiques s’attellent à protéger la Terre des menaces venues de l’espace, et ont même détourné un astéroïde en le percutant avec une sonde. Ils récoltent au passage des données précieuses pour mieux comprendre comment notre système solaire s’est formé, il y a des milliards d’années.


Fourni par la Revue du CNRS

03 juin 2025

L'Etna entre en éruption

La mission Copernicus Sentinel-2 a capturé une image spectaculaire de l'éruption de l'Etna le 2 juin 2025, lorsqu'un panache massif de cendres, de gaz et de roches a soudainement jailli du plus grand volcan actif d'Europe.

L'Etna est l'un des volcans les plus actifs au monde, mais aucune éruption d'une telle ampleur n'a eu lieu depuis 2014, selon l'Observatoire national de géophysique et de volcanologie. L'observatoire a indiqué que les observations préliminaires montrent un effondrement partiel du flanc nord du cratère sud-est du volcan.
Une capture du satellite Copernicus Sentinel-5P montre également le dioxyde de soufre émis dans le panache. 

CREDIT : contient des données Copernicus Sentinel modifiées (2025), traitées par l'ESA

21 mai 2025

Le Morvan devient la septième réserve de ciel noir de France

Après un processus de 7 ans, le Morvan vient d’obtenir le précieux label de réserve de ciel étoilé décerné par l’association Dark Sky International.
Et de 7 ! Le Morvan vient d’officialiser la création de la 7e réserve internationale de ciel étoilé (Rice). Un label décerné par l’association Dark-Sky International. « On a des paysages d’exception et le ciel c’est le pendant. C’est un projet de territoire », souligne Pascal Pommé. Le maire de Chissey-en-Morvan (283 habitants) est aussi astronome amateur et se trouve au cœur de la nouvelle réserve de ciel étoilé. Il a fait partie des artisans de ce projet.

Sur les 133 communes du parc naturel, 16 ont été identifiées comme zones cœur et il y a en tout 50 communes impliquées avec la zone tampon. Cette réserve est centrée sur Roussillon-en-Morvan et Saint-Prix.

Lire l'article sur le site de Ciel & Espace (en accès libre) 


14 mars 2025

Les astronomes chanceux ont pu s'émerveiller de la « Lune de sang »

Les astronomes du monde entier ont pu s'émerveiller devant Le spectacle de la « Lune de sang » rouge a émerveiller les astronomes chanceux (ciel suffisamment dégagé, position géographique...) lors d'une rare éclipse lunaire totale aux premières heures de ce vendredi matin 14 mars 2025.
Le spectacle céleste était visible dans les Amériques, dans les océans Pacifique et Atlantique, ainsi que dans les régions les plus occidentales de l’Europe et de l’Afrique.

Le phénomène se produit lorsque le soleil, la Terre et la Lune s'alignent, ce qui fait que notre planète projette une ombre géante sur son satellite. Mais alors que l’ombre de la Terre se déplaçait sur la Lune, elle n’effaçait pas entièrement sa lueur blanche : au contraire, la Lune brillait d’une couleur rougeâtre.

C'est parce que la seule lumière du soleil qui atteint la Lune est « courbée et dispersée » lorsqu'elle traverse l'atmosphère terrestre, explique Daniel Brown, astronome à l'Université Nottingham Trent en Grande-Bretagne. C'est similaire à la façon dont la lumière peut devenir rose ou rouge lors des levers ou des couchers de soleil sur Terre, a-t-il ajouté.

Plus il y a de nuages et de poussière dans l'atmosphère terrestre, plus la lune paraît rouge. Brown a qualifié l'éclipse lunaire, qui durera environ six heures, de « manière étonnante de voir le système solaire en action ».

La période pendant laquelle la Lune est complètement dans l’ombre de la Terre – appelée la totalité – dure un peu plus d’une heure.

En France, la totalité est de 7h26 à 8h31 heure locale (06h26-07h31 GMT), selon l'Institut français de mécanique céleste et de calcul des éphémérides. Seules les régions les plus occidentales de l'Europe, comme la région Bretagne en France, auront la chance de voir la totalité avant le coucher de la Lune.

© 2025 AFP

13 mars 2025

Des supernovae violentes auraient déclenché au moins deux extinctions terrestres...

Au moins deux événements d'extinction massive dans l'histoire de la Terre ont probablement été causés par les effets « dévastateurs » d'explosions de supernovae à proximité, suggère une nouvelle étude.

12 mars 2025

Le nouveau télescope spatial de la NASA, Spherex, décolle pour cartographier l'ensemble du ciel et des millions de galaxies

SpaceX a lancé l'observatoire Spherex depuis la Californie, le mettant en route pour survoler les pôles terrestres. Quatre satellites de la taille d'une valise l'accompagnaient pour étudier le Soleil. Spherex a été le premier à décoller de l'étage supérieur de la fusée, dérivant dans l'obscurité de l'espace, avec la Terre bleue en arrière-plan.
Le tout nouveau télescope spatial de la NASA a été mis en orbite mardi pour cartographier l'ensemble du ciel comme jamais auparavant - un aperçu complet de centaines de millions de galaxies et de leur lueur cosmique partagée depuis la nuit des temps. La mission Spherex vise à expliquer comment les galaxies se sont formées et ont évolué sur des milliards d'années, et comment l'univers s'est développé si rapidement dans ses premiers instants.

04 mars 2025

Visualiser les courants océaniques avec ECCO

Historiquement, l’océan a toujours été difficile à modéliser. Les scientifiques ont eu du mal à simuler les courants océaniques ou à prédire avec précision les fluctuations de température, de salinité et d’autres propriétés. En conséquence, les modèles de dynamique océanique se sont rapidement éloignés de la réalité, ce qui signifie qu’ils ne pouvaient fournir des informations utiles que pendant de brèves périodes.

Lire l'article sur le site de la NASA (demander au navigateur de traduire en français)

19 février 2025

Terre : la fonte des glaciers intensifie la perte d’eau douce et accélère l’élévation du niveau de la mer

La fonte des glaciers du monde entier épuise les ressources régionales en eau douce et entraîne une élévation du niveau de la mer à un rythme toujours plus rapide.
Selon de nouvelles conclusions, issues d’un effort international impliquant 35 équipes de recherche, les glaciers ont perdu en moyenne 273 milliards de tonnes de glace par an depuis l’an 2000 – mais derrière cette moyenne se cache une augmentation alarmante au cours des 10 dernières années.

L'astéroïde 2024 YR4 : La NASA révise le pourcentage de chances de frapper la Terre, le passant de 3,1 à 0,28 % !

Selon les données de la NASA précédemment publiées, un astéroïde susceptible de raser une ville a désormais 3,1 % de chances de frapper la Terre en 2032, ce qui en fait le rocher spatial le plus menaçant jamais enregistré par les prévisions modernes.

Cependant, en cette fin de février 2025, d'parès les dernièresobservations avec des télescopes puissants, le risque est tombé sous la barre de 1 %, ce qui reste exceptionnel, car peu de géocroiseurs se maintiennent au-dessus de 0.
Malgré les risques croissants, les experts estiment qu'il n'y a pas lieu de s'alarmer. La communauté astronomique mondiale surveille de près la situation et le télescope spatial James Webb devrait fixer son regard sur l'objet, connu sous le nom de 2024 YR4, le mois prochain.

Lire l'article sur notre Blog présentant le risque de 3,1 %, puis l'article sur le site Les Numériques quant à l'abaissement de ce risque à 0,28 %.

18 janvier 2025

10 janvier 2025

Les incendies de Los Angeles vus de l’espace

Les images satellites de Los Angeles permettent de visualiser l’ampleur des destructions liées aux incendies depuis le 8 janvier.
Ce 10 janvier 2025, les incendies de Los Angeles font la une des journaux avec des chiffres alarmants : 180 000 personnes déplacées, 10 000 bâtiments détruits et 10 morts. On a du mal à imaginer l’ampleur du désastre, et finalement, c’est peut-être depuis l’espace que l’on peut le mieux s’en rendre compte, comme le montre l’image prise par la société de satellites Maxar Technologies.

Cette photo montre Altadena, une commune de 43 000 habitants, située dans la banlieue huppée au nord de Los Angeles (Californie). En jaune et en orange sur la photo, on peut voir les incendies en cours et réaliser concrètement l’ampleur des destructions. Des quartiers entiers sont partis en fumée. La zone touchée représente le quart de la ville environ.

Des incendies se sont déclarés à plusieurs endroits en raison des vents violents jusqu’à 160 km/h en rafale mercredi 8 janvier. Mais Altadena est la zone urbaine la plus durement touchée. « Palisades Fire » (du nom du quartier Pacific Palisades, juste à l’est de Malibu) est également très préoccupant. Il a détruit moins de zones habitées, mais il est encore plus étendu que le feu d’Altadena.

Lire l'article sur le site de l'ESA

17 novembre 2024

Les smartphones, des outils pour mesurer l’état de l’ionosphère

Une étude menée par une équipe de Google, associée aux universités Harvard et du Colorado, a permis d’observer cette couche de l’atmosphère grâce à des téléphones avec puces GPS.
A la fin de la lecture de cet article du Monde (offert), vous ne regarderez plus les smartphones de la même manière. Avec leurs capteurs de mouvement, on les savait capables de mesurer les tremblements de terre. Avec leurs lentilles photographiques, ils se transforment en microscopes. Certains parlent même de « smartphonique » pour désigner toutes les expériences, optiques, magnétiques, mécaniques réalisables avec ces appareils.

15 novembre 2024

Diminution globale des réserves d'eau douce sur Terre

Une équipe internationale de scientifiques, utilisant des observations de satellites allemands de la NASA, a découvert des preuves montrant que la quantité totale d'eau douce sur Terre a chuté brusquement à partir de mai 2014 et est restée faible depuis. Dans un article publié dans Surveys in Geophysics, les chercheurs ont suggéré que ce changement pourrait indiquer que les continents de la Terre sont entrés dans une phase de sécheresse persistante.
De 2015 à 2023, des mesures par satellite ont montré que la quantité moyenne d’eau douce stockée sur terre – qui comprend l’eau de surface liquide comme les lacs et les rivières, ainsi que l’eau des aquifères souterrains – était inférieure de 1 200 km³ aux niveaux moyens de 2002 à 2014, a déclaré Matthew Rodell, l’un des auteurs de l’étude et hydrologue au Goddard Space Flight Center de la NASA à Greenbelt, dans le Maryland.

Lire l'article sur notre Blog

14 novembre 2024

06 novembre 2024

La couche d’ozone continue de “guérir”

Bonne nouvelle sur le front de la couche d’ozone : le trou de la haute atmosphère qui campe au-dessus de l’Antarctique est, en 2024, relativement petit, comparé aux années précédentes. Ce qui suggère qu’il est bel et bien en train de se reboucher.
Des mesures effectées par la NASA et la NOAA révèlent qu'en 2024, le trou dans la couche d'ozone est le septième plus petit jamais mesuré en plus de 30 ans. Rassurant, ce résultat indique que la tendance à la régénération de la couche d'ozone se confirme. Il apporte aussi la preuve éclatante que lorsque les gouvernements s'unissent pour résoudre un problème planétaire, les effets sont tanglibles.

Un article paru dans Ciel & Espace aborde la situation actuelle de la couche d'ozone, mettant en avant des progrès encourageants. En 2024, le trou dans la couche d'ozone au-dessus de l'Antarctique est l'un des plus petits mesurés depuis plus de 30 ans, ce qui indique une tendance à la régénération de cette couche protectrice, essentielle pour la vie sur Terre.

La couche d'ozone, située dans la stratosphère, absorbe la majeure partie des rayons UV-B nocifs du soleil. Son déclin dans les années 1970 était principalement dû aux CFC, des substances émises par divers appareils. La signature du Protocole de Montréal en 1987 a entraîné une réduction de 98 % de la production de CFC, ce qui a contribué à la restauration de la couche d'ozone. En 2024, le taux d'ozone a atteint un minimum de 109 unités Dobson, bien supérieur au minimum record de 2006. 

Cependant, les chercheurs restent vigilants face à d'autres menaces potentielles, comme les émissions des fusées, qui pourraient avoir un impact sur la couche d'ozone, surtout dans un contexte où Elon Musk promet d'augmenter drastiquement la fréquence de ses lancements de Falcon 9 jusqu'à plusieurs par semaine... Les chercheurs semblent optimistes en estimant que, si aucune nouvelle source de pollution ne s'ajoute, la couche d'ozone pourrait se rétablir complètement d'ici 2066. 

Lire l'article de Ciel & Espace (réservé aux abonnés)

05 novembre 2024

Découverte d'un immense océan souterrain contenant 3 fois plus d'eau que tous les océans réunis

Des chercheurs ont révélé l’existence d’un océan caché sous la croûte terrestre, renfermant potentiellement trois fois plus d’eau que tous les océans de surface réunis. Cette découverte repose sur l’analyse de la ringwoodite, une roche présente dans la zone de transition du manteau terrestre, entre 400 et 600 kilomètres sous la surface.
Grâce à des techniques de sismologie avancées, les scientifiques ont pu observer des ondes sismiques qui traversent cette zone et ont déduit la présence d’une importante quantité d’eau piégée dans cette roche spécifique. La ringwoodite, qui possède la capacité unique d’absorber de l’eau dans sa structure cristalline, est un élément clé de cette découverte. Ce minéral, qui se forme uniquement sous des conditions de pression et de température extrêmes, aurait permis le stockage de cette eau dans les profondeurs de la Terre depuis des milliards d’années. Cette réserve d’eau souterraine massive pourrait redéfinir notre compréhension de l’hydrosphère et soulève des questions cruciales quant aux origines et au cycle de l’eau sur notre planète.

Lire la suite sur le site de Média24 ou à la source

02 novembre 2024

SWOT détecte un tsunami dévastateur au Groenland

La mission satellite internationale Surface Water and Ocean Topography (SWOT), une collaboration entre la NASA et le CNES (Centre national d'études spatiales) français, a détecté les contours uniques d'un tsunami qui s'est écrasé dans les parois abruptes d'un fjord du Groenland en septembre 2023.
Déclenché par un glissement de terrain massif, le tsunami a généré un grondement sismique qui a résonné dans le monde entier pendant neuf jours. Une équipe de recherche internationale composée de sismologues, de géophysiciens et d'océanographes a récemment rendu compte de l'événement après un an d'analyse des données. Le satellite SWOT a recueilli des mesures de l'élévation du niveau de l'eau dans le fjord Dickson le 17 septembre 2023, le lendemain du premier éboulement et du tsunami. Les données ont été comparées aux mesures effectuées dans des conditions normales quelques semaines auparavant, le 6 août 2023.

Dans la visualisation des données (ci-dessus), les couleurs situées à l'extrémité rouge de l'échelle indiquent des niveaux d'eau plus élevés , et les couleurs bleues indiquent des niveaux inférieurs à la normale. Les données suggèrent que les niveaux d'eau à certains points le long du côté nord du fjord étaient jusqu'à 1,2 mètre plus élevés qu'au sud. « Le SWOT a survolé le fjord à un moment où l'eau s'était accumulée assez haut contre la paroi nord du fjord », a déclaré Josh Willis, chercheur sur le niveau de la mer au Jet Propulsion Laboratory de la NASA en Californie du Sud. « Voir la forme de la vague, c'est quelque chose que nous n'aurions jamais pu faire avant le SWOT. »

Dans un article publié récemment dans la revue Science, des chercheurs ont relié un signal sismique à un tsunami qui a commencé lorsque plus de 25 millions de mètres cubes de roche et de glace (880 millions de pieds cubes) se sont déversés dans le fjord Dickson. Faisant partie d'un réseau de canaux sur la côte est du Groenland, le fjord mesure environ 540 mètres de profondeur et 2,7 kilomètres de largeur, avec des parois de plus de 1 830 mètres de haut. Loin de l'océan, dans un espace confiné, l'énergie du tsunami n'a eu que peu de chances de se dissiper, de sorte que la vague s'est déplacée d'avant en arrière environ toutes les 90 secondes pendant neuf jours. Elle a provoqué des secousses enregistrées par des instruments sismiques à des milliers de kilomètres de distance.

À environ 900 kilomètres d'altitude, SWOT utilise son instrument sophistiqué d'interféromètre radar à bande Ka (KaRIn) pour mesurer la hauteur de presque toute l'eau à la surface de la Terre, y compris l'océan et les lacs d'eau douce, les réservoirs et les rivières. « Cette observation montre également la capacité de SWOT à surveiller les dangers, contribuant potentiellement à la préparation aux catastrophes et à la réduction des risques », a déclaré Nadya Vinogradova Shiffer, scientifique du programme SWOT au siège de la NASA à Washington. Il s’avère qu’il peut également voir dans les fjords.

« La résolution du radar KaRIn était suffisamment bonne pour réaliser des observations entre les parois relativement étroites du fjord », a déclaré Lee-Lueng Fu, scientifique du projet SWOT. « L'empreinte des altimètres conventionnels utilisés pour mesurer la hauteur de l'océan est trop grande pour pouvoir observer une si petite étendue d'eau. »

Fourni par la NASA

31 octobre 2024

Landsat 8 montre l’ampleur des inondations de Valence depuis l’espace

Une image du satellite américain d’observation de la Terre permet de se rendre compte quelle surface a été touchée par les inondations catastrophiques survenues dans la région de Valence, en Espagne.
Après l’intense épisode météorologique survenu en Espagne le 30 octobre, les images de dévastation de Valence et de ses environs sont terribles et choquantes. D’autant que le bilan humain est lourd. Vue de l’espace, l’ampleur régionale de la catastrophe est impressionnante. Le satellite américain Landsat 8 avait photographié Valence le 8 octobre. Dans le cadre du programme Copernicus Emergency Rapid Mapping Service, il a été mobilisé pour reprendre une photo dans les mêmes conditions le 30 octobre, après les pluies diluviennes qui se sont abattues en amont de la ville. 

Le changement saute aux yeux : quasiment toute la surface qui se trouve entre le centre de Valence et la ville d’Alcira (notée Alzira sur l’image) est inondée. Il y a 35 km à vol d’oiseau entre les deux localités. Cette étendue est dépourvue de relief significatif et est largement occupée par des cultures inondables autour de la lagune d’Albufera.

La couleur turquoise correspond aux alluvions transportées en masse par les cours d’eau qui ont été gonflées par les pluies. Ces alluvions s’étendent en mer Méditerranée à l’embouchure de ces mêmes cours d’eau.

24 septembre 2024

Les recherches se multiplient à la Station spatiale internationale

À la Station spatiale internationale, les chercheurs font des progrès dans tous les domaines, des sciences de la Terre aux propriétés chimiques.

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