24 novembre 2025
Les Mercredis du CNES : venez tester ses tutos créatifs de l'espace !
20 novembre 2025
BCMA : dans les coulisses de 30 ans de tests en télécommunications spatiales
04 novembre 2025
Ariane-6 : décollage réussi du satellite Sentinel-1D pour la surveillance de l’environnement, dans le cadre du programme Copernicus
Le lanceur lourd européen Ariane-6 a décollé, mardi 4 novembre dans la soirée, du centre spatial de Kourou, en Guyane française, avec à son bord un nouveau satellite destiné à la surveillance de l’environnement, a constaté sur place un correspondant de l’Agence France-Presse (AFP).
Le décollage a eu lieu à 18 h 02 (22 h 02 heure à Paris), suivi de la séparation du lanceur et du satellite, 33 minutes et 51 secondes après l’envol.
Il s’agit de la première étape de la mise en orbite héliosynchrone de ce satellite qui pèse plus de deux tonnes, laquelle aura lieu à 693 km d’altitude. Ce type d’orbite permet à l’engin de passer près des pôles et de survoler chaque point de la Terre à la même heure solaire, ce qui facilite la comparaison des images dans le temps.
Lire l'article Du Monde (en accès libre) et celui de l'ESA
13 août 2025
Succès pour la deuxième mission commerciale d’Ariane 6 : le satellite MetOp-SG-A1 est en orbite
Le 12 août 2025, à 21h37 heure locale (02h37 CEST, le 13 août), Ariane 6, opérée par Arianespace, a parfaitement réussi son troisième vol depuis le Centre spatial guyanais (CSG), port spatial de l’Europe, en mettant en orbite héliosynchrone à environ 800 km d’altitude le satellite d’observation européen MetOp-SG-A1 (Second Generation A1), de l'Organisation européenne pour l'exploitation des satellites météorologiques (EUMETSAT), fabriqué par Airbus Defence and Space dans le cadre d'un contrat avec l'Agence spatiale européenne (ESA). Ce lancement est le troisième de 2025 depuis le CSG et la troisième mission pour Ariane 6, le nouveau lanceur européen. VA264 est le deuxième vol commercial d’Ariane 6.
MetOp-SG-A1
MetOp-SG-A1 est le premier satellite météorologique européen de la deuxième génération MetOp. Il assurera la continuité des observations mondiales essentielles depuis l'orbite polaire, et améliorera, par rapport à la première génération, la précision des prévisions météorologiques et la connaissance de l’atmosphère et de l'évolution du climat comme jamais auparavant. MetOp-SG-A1 emporte un total de six instruments d'imagerie et de sondage atmosphérique qui fourniront des données d'observation dans le visible, l'infrarouge et les hyperfréquences, essentielles pour les prévisions météo, la veille climatique et un large éventail d'autres services et applications.
IASI-NG
Parmi ces six instruments figure IASI-NG (Interféromètre Atmosphérique pour le Sondage Infrarouge Nouvelle génération), dans lequel la communauté scientifique française ainsi que MétéoFrance se sont fortement impliqués, et dont le CNES assure la responsabilité technique globale y compris la recette en vol. Le CNES a également développé la chaîne de traitement des données brutes issues de l’instrument pour élaborer les données de caractérisation de l’atmosphère. De plus, le CNES s’occupe du développement et de l’exploitation d’un centre d’expertise technique pour le suivi des performances en orbite de l’instrument.
IASI-NG est un sondeur atmosphérique dans l’infrarouge qui permettra de déterminer par télédétection passive infrarouge les profils de température et de vapeur d'eau dans l'atmosphère, la température de surface des océans et des continents, de suivre une gamme très vaste de composés chimiques ainsi que 16 variables essentielles pour l'étude du climat, uniquement observables depuis l’espace : gaz à effet de serre, poussières désertiques, nuages, etc. ... S’inscrivant dans la continuité des données fournies par l’instrument IASI, son prédécesseur, IASI-NG est un atout pour les sciences de l’atmosphère, dans les domaines de la prévision numérique du temps, de l’étude de la composition atmosphérique et du climat. En effet, la configuration optique innovante de l’instrument permettra de fournir des données 2 fois plus précises par rapport à IASI. Cet instrument de nouvelle génération est un élément clé des 3 futurs satellites météorologiques européens de la série MetOp-SG-A.
Sentinel-5 du programme Copernicus
Figure également parmi les six instruments, Sentinel-5 du programme Copernicus de la Commission européenne dédié à la mission de surveillance atmosphérique qui fournira quotidiennement des données mondiales sur les principaux polluants atmosphériques, les variables climatiques essentielles et l'ozone stratosphérique.
Ce 264ème lancement de la famille Ariane est le troisième vol du lanceur Ariane 6. Avec les succès du lancement inaugural d’Ariane 6, le 9 juillet 2024, et du premier vol commercial le 6 mars 2025, le transport spatial européen est entré dans une nouvelle ère et l’Europe a retrouvé son autonomie d’accès à l’espace. Ariane 6 est le nouveau lanceur européen conçu pour mettre en orbite des charges utiles lourdes. Modulaire et polyvalent, il succède à Ariane 5, afin de garantir à l’Europe un accès autonome à l’espace.
14 mai 2025
« L'horloge atomique PHARAO ouvre les portes d’une nouvelle physique du temps »
Après un lancement réussi le 21 avril, la mission européenne ACES a été installée le 25 avril à bord de la Station spatiale internationale. À son bord, l'horloge atomique française PHARAO (Projet d'Horloge A Refroidissement d'Atomes en Orbite). PHARAO a livré ses premières données ce mercredi 14 mai sous la forme de franges de Ramsey, une technique utilisée pour mesurer des fréquences avec une extrême précision. Ces premières franges indiquent que l’horloge atomique fonctionne correctement et que certains paramètres restent à affiner afin d'obtenir le temps le plus précis possible.
Décryptage avec Martin Boutelier, responsable de la thématique physique fondamentale au CNES.
29 avril 2025
Lancement de Vega-C avec le satellite Biomass (VV26)
Chaque année, les forêts absorbent plusieurs milliards de tonnes de dioxyde de carbone présent dans l’atmosphère. Leur dégradation ou leur disparition provoque la libération dans l’atmosphère du CO2 qu’elles stockent... Quantifier le cycle global du carbone est donc essentiel pour comprendre les conséquences de la déforestation sur le climat.
C'est la mission du satellite Biomass, du programme Earth Explorer de l’Agence spatiale européenne (ESA), qui a été lancé le 29 avril depuis le Centre spatial guyanais. Le lanceur léger européen Vega-C, opéré par Arianespace, a placé son passager en orbite héliosynchrone à 666 km d’altitude. Son injection est intervenue 57 minutes après le décollage.
Lire l'article sur le site du CNES et sur celui d'Arianespace ou encore celui de l'ESA.
11 mars 2025
CNESMAG n° 96 - Printemps 2025 : L'espace aux jeunes
07 mars 2025
Ariane 6 réussit son premier vol commercial avec à son bord le satellite CSO-3
24 décembre 2024
Vendée Globe : des skippers connectés par satellite jusqu'au milieu de l’océan
Lire l'article sur le site du CNES
01 décembre 2024
Beauté de l’espace : le calendrier de l’Avent très spatial du CNES
A consulter sur le site du CNES
08 novembre 2024
Succès pour le premier vol d'essai du ballon manoeuvrant BalMan
Lire l'article sur le site du CNES
28 octobre 2024
L'ESA sélectionne quatre entreprises pour développer une technologie de fusée réutilisable
Le 9 octobre, l'ESA a organisé à Paris la cérémonie de remise des prix du futur transport spatial. Au cours de l'événement, l'agence a annoncé les quatre lauréats de deux initiatives axées sur le développement de la technologie des fusées réutilisables : le projet Technologies for High-thrust Reusable Space Transportation (THRUST !) et le projet Boosters for European Space Transportation (BEST !).
Selon une annonce de l'ESA Commercialisation Gateway, les entreprises lauréates vont désormais entamer des négociations contractuelles avec l'ESA pour développer et tester davantage leurs solutions.
L'initiative THRUST! vise à faire progresser le développement des systèmes de propulsion liquide européens, en ciblant la démonstration de la technologie des moteurs à combustion à étage de poussée élevée. À la suite de la cérémonie de remise des prix du 9 octobre, Rocket Factory Augsburg et The Exploration ont été sélectionnés pour développer des projets dans le cadre de cette initiative. La société d'exploration a déjà reçu le soutien du CNES pour le développement de son moteur-fusée Typhoon, qui sera capable de produire 200 tonnes de poussée. Les travaux menés dans le cadre de l'initiative THRUST! viendront probablement compléter ceux déjà réalisés pour le développement du moteur-fusée Typhoon.
Le projet BEST! a été lancé pour stimuler le développement de futurs premiers étages ou boosters de fusées réutilisables. Les résultats du projet seront examinés lors de la réunion du conseil ministériel de l'ESA fin 2025, où une décision sur la poursuite du développement sera prise. Suite à la cérémonie de remise des prix du 9 octobre, ArianeGroup et Isar Aerospace ont été sélectionnés pour développer des projets dans le cadre de cette initiative.
ArianeGroup reçoit actuellement des financements de l'ESA et de l'Union européenne pour développer Themis, un démonstrateur de lanceur réutilisable qui devrait réaliser un premier test de saut en 2025. La technologie aura une application directe à bord d'une fusée développée par la filiale de microlanceurs de l'entreprise, MaiaSpace. On ne sait pas encore si ArianeGroup poursuivra le développement de Themis dans le cadre du projet BEST! ou s'il se concentre sur une nouvelle initiative.
Isar Aerospace est actuellement dans les dernières étapes du développement de sa fusée Spectrum. L'entreprise travaille actuellement au lancement d'un vol inaugural de la fusée avant la fin de 2025 depuis le port spatial d'Andoya en Norvège. Selon un rapport du cabinet de conseil industriel Euroconsult, Isar Aerospace prévoit également une version plus grande de la fusée, actuellement appelée Spectrum 2. Cette version de la fusée augmentera sa capacité de charge utile d'une à quatre tonnes. Bien que ce véhicule plus grand ait la capacité de charge utile nécessaire pour mettre en œuvre une architecture de fusée réutilisable, on ne sait pas si c'est le projet qu'Isar développe dans le cadre de l'initiative BEST!.
De Andrew Parsonson (European Spaceflight)
28 septembre 2024
Les fusées de MaiaSpace décolleront de Guyanne
Délaissé par les Russes depuis mars 2022, quelques jours après l’invasion de l’Ukraine, le pas de tir réservé à la fusée Soyouz au Centre spatial guyanais (CSG) de Kourou va retrouver un nouvel occupant. Après avoir lancé un appel à candidatures en avril, le Centre national d’études spatiales (CNES) a annoncé, jeudi 26 septembre, avoir retenu le français MaiaSpace parmi les six candidats en lice pour y faire partir leurs minilanceurs. Le contrat porte sur une durée de dix ans.
Maia est une fusée en partie réutilisable sur le modèle des lanceurs Falcon 9 de Space X. Elle pourra placer sur orbite héliosynchrone entre 500 kg et 1500 kg selon que la version employée possède un premier étage réutilisable ou non. Ce lanceur affiche un gabarit conséquent : 50 m de haut pour 3,5 m de diamètre. Il fonctionnera à l’oxygène liquide et au biométhane.
Son premier étage sera propulsé par trois moteurs Prometheus, partiellement fabriqués par des imprimantes 3D et développés depuis près de dix ans par ArianeGroup. Ceux-ci seront disposés en ligne et seul celui logé au centre se rallumera lors du retour de l’étage vers une barge située en mer afin d’être récupéré (toujours selon le modèle de Space X).
16 septembre 2024
L'enquête identifie la cause de l'anomalie de l'APU d'Ariane 6
La fusée européenne Ariane 6 a été lancée pour la première fois le 9 juillet 2024 depuis le Centre spatial guyanais. Si la phase initiale du vol s'est déroulée comme prévu, une anomalie du groupe auxiliaire de puissance (APU) de la fusée lors d'une phase de démonstration de la mission a conduit à l'abandon de la dernière mise à feu de l'étage supérieur de la mission. L'étage supérieur de la fusée reste en orbite avec deux capsules de rentrée qui devaient être déployées après la dernière mise à feu de la fusée.
Après le vol, une enquête sur l'anomalie a été lancée par la Task Force du lanceur Ariane 6, composée de l'ESA, du CNES, d'ArianeGroup et d'Arianespace. Dans une mise à jour du 16 septembre, la Task Force a annoncé que l'enquête avait identifié une seule mesure de température qui « dépassait une limite prédéfinie » comme étant la cause principale de l'anomalie. Le dépassement de la limite a provoqué l'arrêt du logiciel de l'APU, ce qui a empêché le moteur de l'étage supérieur Vinci de la fusée de redémarrer pour la combustion finale.
Afin de remédier à ce problème et d'éviter qu'un tel arrêt ne se reproduise à l'avenir, la séquence de préparation à l'allumage, et plus particulièrement la séquence de refroidissement de l'APU, a été modifiée. Le logiciel de vol mis à jour est déjà testé alors que les équipes se préparent pour le premier vol commercial de la fusée, qui devrait avoir lieu avant la fin de l'année.
Si cette mise à jour apporte une conclusion bien nécessaire à la campagne de vols inauguraux de la fusée, un aveu intéressant semble avoir été fait. Selon la mise à jour, l'enquête qui a permis d'identifier la cause profonde de l'arrêt de l'APU a été conclue en août. En conséquence, le groupe de travail a gardé les résultats de cette enquête en suspens pendant plus de deux semaines. Cela peut s'expliquer par le fait que le groupe de travail attendait que les équipes mettent en œuvre un correctif avant de publier la mise à jour. Cependant, cela remet en question l'engagement affiché de l'ESA en matière de transparence.
Par Andrew Parsonson (europeanspaceflight.com)
31 juillet 2024
09 juillet 2024
Vol inaugural réuni d'Ariane 6
"C'est un jour historique pour l'ESA et pour l'Europe", salue le directeur général de l'agence spatiale européenne (ESA), Joseph Aschbacher. Ariane 6 a mis en orbite, mardi 9 juillet, les micro-satellites qu'elle transportait, marquant ainsi le succès du vol inaugural de la fusée européenne. Avec un retard d'une heure en raison d'un problème "mineur" résolu dans la matinée, la fusée de 56 mètres a décollé à 21 heures (heure de Paris) de son pas de tir de Kourou, en Guyane.
Ce vol d'Ariane 6 était stratégique pour les Européens s'ils veulent continuer à exister face au géant américain SpaceX qui lance ses fusées réutilisables Falcon 9 environ deux fois par semaine. Privée de lanceur depuis la fin d'Ariane 5 en juillet 2023, l'Europe n'avait plus les moyens d'accéder à l'espace de façon indépendante.
Pour ce premier vol, Ariane 6 n'embarquait pas de satellites majeurs de ses clients. A son bord se trouvent des expériences scientifiques et des microsatellites d'universités, comme le Projet PariSat de l'Ecole nationale supérieure de l'électronique et de ses applications. Au total, Ariane 6 embarque 18 "passagers", dont huit cubesats, des petits satellites de la taille d'une boîte de chaussures, et une masse inerte de deux tonnes simulant les satellites Galileo, le système de géolocalisation européen, plus précis que le GPS.
05 juin 2024
Le lancement inaugural d'Ariane 6 prévu pour le 9 juillet
Lire l'article sur le site du CNES
02 juin 2024
Alunissage de la sonde chinoise sur la face cachée de la Lune et collecte d'échantillons
Un vaisseau spatial chinois s'est posé dimanche sur la face cachée de la Lune pour collecter des échantillons de sol et de roches qui pourraient fournir un aperçu des différences entre la région la moins explorée et la face proche, mieux connue.
Lire l'article sur notre Blog, voir aussi :
- l'article du CNES : CHANG’E 6 / DORN : SUCCÈS DE L’ALUNISSAGE ET DE L'ALLUMAGE DE L'INSTRUMENT FRANÇAIS
- l'article sur le site de Sciences et Avenir - La Recherche concernant l'alunissage et celui concernant la collecte d'échantillons et leur retour sur Terre
- les articles sur le site de Franceinfo ici et là
- les articles sur le site Du Monde
- l'article sur notre Blog lors du lancement de ce vaisseau Chang'e 6
27 mai 2024
Le CNES, Decathlon, Spartan Space et MEDES vont développer une combinaison spatiale
« Avec l'ambition européenne de contribuer aux futures missions spatiales avec ses propres équipages, la France, forte de ses compétences et de son savoir-faire technologique, souhaite contribuer à cette croissance en proposant notamment une combinaison spatiale IVA (Intra-Vehicular Activities) », Directeur adjoint du département d'exploration et de vols habités du CNES, a expliqué Sébastien Barde dans un communiqué.
L'initiative Combinaison spatiale IVA du CNES est menée dans le cadre du projet Spaceship FR de l'agence. Spaceship FR a été lancé en 2018 pour jeter les bases de futures missions avec équipage vers la Lune et Mars dans plusieurs domaines, notamment les habitats, la production et le stockage d'énergie et l'utilisation des ressources in situ.
21 mai 2024
L'ESA révèle le calendrier des derniers travaux avant le premier vol d'Ariane 6
Depuis mai 2023, la Task Force du lanceur Ariane 6, composée de l'ESA, du CNES et du maître d'œuvre ArianeGroup, publie régulièrement des mises à jour sur les progrès des équipes travaillant en vue du vol inaugural de la fusée lourde européenne de nouvelle génération. Avec la publication de sa mise à jour du 21 mai 2024, le groupe de travail a défini les étapes les plus récemment franchies en plus du calendrier le plus clair jusqu'à présent vers le compte à rebours final du vol.
Le 29 avril, les équipes ont achevé la revue de qualification des systèmes de lancement, qui a examiné tous les aspects des systèmes de lancement d'Ariane 6, y compris le lanceur lui-même et le segment sol qui le supporte. L'examen a duré quatre semaines. La clôture de l’examen de qualification du système de lancement sera achevée d’ici la mi-juin. C'est la dernière étape de la qualification du système de lancement Ariane 6.
La dernière étape sur la route du lancement d'Ariane 6 a été franchie le 16 mai, lorsque les différentes charges utiles du vol sont arrivées au Centre Spatial Guyanais, prêtes à être intégrées. Le composite supérieur de la fusée, composé de l'adaptateur de lanceur, des charges utiles et du carénage, sera terminé et prêt à être transporté vers la rampe de lancement pour être empilé en juin.
Le 18 juin aura lieu la répétition générale humide du vol modèle 1 d'Ariane 6. Ce processus implique le remplissage et la vidange des réservoirs de propulseur du noyau et de l’étage supérieur. Il s'agit de la dernière étape majeure avant la première tentative de lancement de la fusée.
Selon le rapport conjoint de mise à jour du 21 mai, la date du vol inaugural a été ramenée à la première quinzaine de juillet. Une date provisoire pour la première tentative de lancement sera annoncée lors du salon aéronautique ILA à Berlin du 5 au 9 juin.




