Après un premier retour réussi dans les bras de sa tour de lancement, le colossal booster du Starship de SpaceX doit repartir vers l’espace le 18 novembre. Et en revenir. Mais comment fonctionne le pilote automatique de la fusée voulue par Elon Musk ?
Au lendemain de l’élection de Donald Trump, se dessine un futur où les départs de Starship pourraient se multiplier depuis le Texas. Elon Musk, soutien majeur du candidat républicain, a même été promis à prendre la tête d’une « commission sur l’efficacité gouvernementale » pendant la campagne électorale. Un atout pour le patron de SpaceX qui aimerait mettre à plat ce qu’il appelle « la bureaucratie qui étrangle à mort l’Amérique ». Et plus particulièrement le travail de régulation environnementale de la FAA, l’Administration Fédérale de l’Aviation, auprès de qui son entreprise est contrainte d’obtenir ses autorisations pour voler… et risquer l’explosion à l’atterrissage.
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